Webinaire | Tout savoir sur la réforme de la facturation électronique en Belgique

La facturation électronique obligatoire en Belgique : ce qu’il faut savoir

La Belgique s’engage dans une transformation numérique majeure de ses processus de facturation. Après avoir imposé la facturation électronique dans les marchés publics (B2G), le gouvernement fédéral a annoncé l’extension progressive de cette obligation au secteur privé (B2B).

L’objectif ? Uniformiser les échanges, lutter contre la fraude à la TVA, automatiser les contrôles et améliorer l’efficacité administrative. Cette réforme s’inscrit dans une dynamique européenne plus large, notamment portée par la directive “ViDA” (VAT in the Digital Age).

Concrètement, toutes les entreprises assujetties à la TVA en Belgique devront prochainement émettre, transmettre et recevoir des factures électroniques structurées via des canaux sécurisés. Le simple envoi d’un PDF par e-mail ne sera plus considéré comme une e-facture conforme.

Voici les points clés :

• Calendrier progressif : l’obligation sera déployée par phases, selon la taille de l’entreprise et le type de relation commerciale.

• Normes techniques : la facture devra suivre des standards structurés (comme UBL), et transiter via une plateforme certifiée, comme le réseau PEPPOL.

• Sanctions en cas de non-conformité : des contrôles seront renforcés, avec des risques de rejet des factures et de sanctions administratives.

Pour anticiper cette échéance, il est crucial de s’équiper d’une solution capable de gérer ces nouveaux formats et flux.
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